Les agents de police judiciaire peuvent en cas de raisons plausibles de soupçonner une consommation de stupéfiants, faire procéder à des épreuves de dépistage du conducteur.
Le dépistage doit permettre d'établir si le conducteur conduisait un véhicule en ayant fait usage de substances ou plantes classées comme stupéfiants.
En outre, dans un délai de cinq jours à compter de la notification des résultats de l'analyse de son prélèvement salivaire ou sanguin, le mis en cause peut demander à ce qu'il soit procédé à l’examen technique du second flacon.
En effet, l’examen sanguin s’avère être plus précis et peut également générer parfois, des difficultés d’ordre procédurales.
