Selon différentes sources, près de quatre cents radars automatiques ont été dégradés depuis janvier 2018, soit quatre fois plus que l'an passé à la même période.
Ces différents actes de vandalismes se matérialisent notamment par des tags mais aussi par des destructions matérielles beaucoup plus lourdes.
En outre, la multiplication des actes de vandalismes visant le contrôle sanction automatisé pourrait avoir pour origine la récente baisse des limitations de vitesse à 80 km/h sur route.
Selon le Code pénal, le fait de dégrader volontairement un dispositif automatisé est un délit passible de poursuites judiciaires.
