Depuis quelques années, l’ANTAI joue un rôle significatif dans le développement des échanges entre pays européens, en matière d’infractions routières.
En effet, le développement des radars automatiques a généré une inégalité de traitement caractérisée entre les véhicules immatriculés à l’étranger et les conducteurs français.
Entre autres, les propriétaires des véhicules étrangers n’étaient que rarement poursuivis à la différence des conducteurs nationaux.
Ces derniers qui sont assujettis à un retrait de retrait de points en cas d’excès de vitesse, peuvent faire l’objet d’une décision d’invalidation portant la référence 48 SI, une fois leurs solde nul.
